Il s’agit, selon le ministre, notamment de l’état d’ivresse sur la voie publique, la rupture délibérée de l’abstention en public pendant les journées du mois de Ramadan ainsi que les relations sexuelles en dehors du cadre du mariage.
Le responsable qui répondait à une question orale à la Chambre des représentants a insisté sur le caractère purement idéologique de toutes ces remarques émanant, selon Ramid, de la part «d’organisations très minoritaires et dont le nombre d’adhérents reste très limité».
Le ministre de la justice a invité les parlementaires à proposer tous les amendements qu’ils estiment nécessaires lorsque le projet de Code pénal sera transmis au Parlement. Pour rappel, la publication de l’avant-projet de Code pénal avait provoqué une levée de boucliers chez certaines associations ainsi que de partis politiques. Certaines voix ont vu dans le projet «une restriction des libertés publiques et individuelles».