Le torchon brûle entre la direction du PAM (parti authenticité et modernité) et les journalistes employés dans le portail de cette formation d’opposition.
Ces derniers affirment que le parti chercherait à rompre les contrats de travail et qu’il aurait déjà mandaté Abdelatif Ouahbi, ancien président du groupe parlementaire du PAM à la Chambre des représentants et avocat, pour régler les détails du licenciement.
Le hic, c’est que les journalistes refusent les propositions faites pour rompre le contrat estimant que la valeur des dédommagements proposés est «minime».
Dans un communiqué publié hier mercredi, les journalistes récusent la version selon laquelle certains journalistes auraient volontairement décidé de quitter leurs emplois. Ces derniers exigent dans le même communiqué l’ouverture d’un dialogue directement avec le secrétaire général du PAM, Hakim Benchamass. Ils exigent, en outre, de recevoir le total des indemnités pour licenciement prévues par la législation du travail en vigueur actuellement.