Les plus connus sont Tariq Kabbage, l’ancien maire USFP de la ville d’Agadir. Kabbage qui est pressenti pour prendre la tête d’un nouveau parti issu d’une scission avec l’Union socialiste des forces populaire, perd son mandat à quelques mois des prochaines législatives.
Nabil Khayat est également concerné par la même décision. Ancien président du groupe parlementaire du Mouvement populaire à la première Chambre, il aurait rejoint le parti du Rassemblement national des indépendants (RNI).
A noter qu’il s’agit probablement d’une première vague et d’autres noms devraient suivre aussi. Pour rappel, la loi en vigueur actuellement interdit aux parlementaires de changer d’appartenance politique entre les élections au risque de perdre leur mandat.
Il s’agit d’une mesure prise pour lutter contre le phénomène de la transhumance politique qui était très répandu parmi les élus dans le passé.