Et pour cause, certaines listes de candidats avaient été invalidées pour non-respect de la parité. Même ce nombre pourrait être revu à la baisse et perdre 10 sièges supplémentaires.
La raison ? La commission centrale de suivi des élections avait publié une liste d’une vingtaine de personnes dont 10 parlementaires, soupçonnées d’utilisation de l’argent dans les élections.
Au cas où les charges sont confirmées contre ces personnes, les parlementaires risquient de perdre automatiquement leur mandat. D’un point de vue constitutionnel, la Chambre des conseillers restera valable.
La Constitution de 2011 stipule que le nombre des parlementaires de la deuxième Chambre doit être compris entre 90 et 120 membres. Cela dit, une Chambre parlementaire avec une petite centaine de membres serait une première dans le pays.