Près de 13.540 infractions environnementales rien qu’au premier semestre de l’année 2016. C’est le chiffre alarmant annoncé, récemment, par la Gendarmerie royale. Ainsi, 6.100 cas de salubrité publique ont été relevés à fin juin contre 5.635 cas de défaut d’hygiène, 1.219 cas de pollution de l’eau, 283 cas de pollution de l’air, 192 cas de délits forestiers et 111 cas de vol de sable.
La Gendarmerie royale indique, dans son communiqué, avoir effectué des opérations de prévention, de sensibilisation et de répression contre toutes sortes de nuisances portant atteinte à l’environnement et au développement durable. Se référant à la même source, l’activité du service environnemental de la Gendarmerie royale est axée sur «la salubrité publique, le défaut d’hygiène, le contrôle de la qualité de l’eau et de l’air, les délits forestiers et le vol de sable».
Notons qu’ à travers ces actions, la Gendarmerie royale vise «la protection de la santé des citoyens et œuvre pour assurer un cadre de vie salubre». En outre, la Gendarmerie royale rappelle, dans son communiqué, que ses différentes interventions «contribuent à la protection de la santé des citoyens et œuvre pour leur assurer un cadre de vie salubre».