Société

Les agissements des adversaires de l’intégrité territoriale ne seront pas tolérés

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Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri, a souligné que les autorités marocaines ne tolèreront pas les agissements malveillants des adversaires de l’intégrité territoriale du Royaume. En réponse à une question orale à la Chambre des conseillers, M. Fassi Fihri a indiqué que l’évolution positive de la cause nationale a poussé les adversaires de l’intégrité territoriale à recourir à des manœuvres abjectes, notamment des allégations tendancieuses sur l’exploitation des ressources naturelles et l’incitation de certains éléments suspects à instrumentaliser la question des droits de l’Homme. Le ministre a affirmé que «les autorités marocaines seront intransigeantes face à de tels comportements sournois, et refusent que cette carte soit utilisée comme paravent pour faire de la surenchère. Surtout de la part de ceux dont tout un chacun connaît le sort déplorable qu’ils réservent aux droits de l’Homme sur leur territoire. Situation qui est nullement comparable avec le climat de liberté et d’ouverture qui règne au Maroc». Taïeb Fassi Fihri a ajouté que son département insiste sur la nécessité de poursuivre la mobilisation nationale active et de mettre à contribution tous les efforts et énergies, aussi bien diplomatiques que parlementaires, en faisant preuve de vigilance pour défendre la souveraineté et l’intégrité territoriale du Royaume. Le ministre des Affaires étrangères a rappelé que les circonstances régionales et le contexte international qui ont été à l’origine du conflit artificiel sur le Sahara marocain sont connus de tous, expliquant que ces circonstances sont liées à la position algérienne hostile à la récupération des provinces du Sud du Royaume, sur la base d’accords conclus avec les puissances occupantes comme cela a été le cas pour Tarfaya et Sidi Ifni. «Le Maroc s’est constamment employé, sans aliéner ses droits légitimes imprescriptibles et partant de son attachement aux règles de bon voisinage, à donner une chance aux efforts régionaux et onusiens pour mettre fin à ce conflit», a souligné le ministre. Ce dernier a indiqué, dans ce sens, que l’une des étapes saillantes a été l’élaboration du plan de règlement basé sur le référendum, dont la communauté internationale s’est rendu ensuite compte de son inapplicabilité. «Sur la base de ce constat et depuis 1997, les efforts onusiens et les initiatives de la communauté internationale se sont focalisés sur la recherche d’une solution politique, négociée et consensuelle», a ajouté le ministre.

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