En plus des grèves, des sit-in et du boycott des études, les étudiants médecins utilisent les réseaux sociaux (facebook et twitter) pour faire compagne contre le service obligatoire, les conditions de travail et les moyens mis à leur disposition dans les zones enclavées.
Ainsi, sous les hachtag #MAKAYENCH_M3AMEN et #FMPR, ils ont publié diverses affiches qui traduisent la frustration des étudiants médecins quant à leur avenir. Selon les étudiants qui risquent à cause des grèves une année sabbatique cette année, le ministère de la santé est responsable de la fermeture des horizons des futurs médecins. On y lit par exemple, « j’aurais voulu être cardiologue mais le système de santé est en crise ».