L’ajournement du procès a été décidé en raison de la non-comparution de certains prévenus qui n’ont pas encore reçu de convocation.
Les 18 prévenus, dont trois ont été acquittés en première instance, avaient été condamnés par la chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Rabat, en février 2001, à une peine de 4 mois d’emprisonnement avec sursis, assortie d’une amende de 1.000 dh chacun.
Les mis en cause, selon le procès-verbal de la police, avaient été interpellés après leur participation, en décembre 2000, à des sit-in de protestation "non-autorisés" organisés à l’occasion du 52-ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.