Les vendeurs de nuit de journaux et les terrassiers se braquent contre Sapress. Ils ont dénoncé avant-hier, mardi 18 mai, une baisse de leur commission sur la vente des journaux (14 à 10%) au moment où ils s’attendaient à une valorisation de ce pourcentage. Les intéressés qui se sont réunis pour défendre leurs droits comptent bien se faire entendre et dénoncer les intimidations qu’ils subissent. Cette décision, qui a été prise sans explication de la part du distributeur, laisse penser à certains observateurs que Sapress est confrontée à des problèmes financiers malgré le monopole de fait qu’elle exerce dans le secteur de la distribution.