D’après la publication trimestrielle de la Fédération de l’Energie, «Energie & Stratégie», la Banque européenne d’investissement étudie l’octroi d’un prêt de 100 millions d’euros destinés au financement de la deuxième phase du Gazoduc arabe. Le prêt serait octroyé au consortium égyptien EPEG, chargé de la construction et de l’exploitation de la section jordanienne du gazoducs. Le coût de cette phase est estimée à 264 millions de dollars. EPEG regroupe l’Egyptian naturel gas holding company, Pétrojet et Enpi, deux filiales de l’Egyptian général petroleum corporation et l’Egyptian naturel gas company (Gasco). Le consortium avait conclu un accord de concession de 30 ans pour la construction sur une base Boot de cette phase du projet.