Le Syndicat national de l’énergie et des mines, relevant de la CDT, a exprimé son indignation après le prélèvement par l’Administration de deux heures de salaire des employés en réaction au sit-in de protestation observé le 23 novembre, ce qui s’ajoute aux 25 jours de "prélèvements injustifiés" effectués sur les salaires des employés au cours de cette année. Le syndicat a souligné, dans un communiqué son attachement au dialogue participatif sur le dossier social, en respectant des règles saines et claires permettant d’aboutir à des solutions réalistes aux problèmes posés et en suspens, dont la signature d’une convention collective de travail garantissant les droits et les acquis de la force ouvrière et régissant les relations professionnelles.