Abbas El Fassi ne comprend pas pourquoi la tension (sur le dossier de Sebta et Melillia) a été si accentuée. Dans un entretien qu’il a accordé au quotidien espagnol ABC, le leader de l’Istiqlal assure que « la revendication de Sebta et Melillia ne doit pas être un sujet prioritaire ». Pour ce qui est de la solution, El Fassi affirme que la création d’une cellule de réflexion serait la solution. Pour lui, il suffirait que « quatre Espagnols et quatre Marocains se réunissent pour prendre le thé et fumer une cigarette ». Ces réunions pourraient durer vingt ou trente ans, affirme-t-il. Rien ne presse pour le secrétaire général de l’Istiqlal.