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Le dixième album des Têtes Raides

L’album « Banco » du groupe Têtes Raides est sorti dans les bacs le 3 décembre. Vingt ans après leurs premiers pas discographiques, Têtes Raides reviennent avec ce nouvel album, synthèse magique de leur art unique. Ce dixième album studio alterne brûlots politico-poétiques tels l’emblématique « Expulsez-moi », hymnes à la nuit, poésies à la veine surréaliste, et chansons d’amour, sur un fond musical toujours renouvelé, où l’accordéon retrouve sa place, au milieu d’un attirail électro-acoustique bariolé. On y croise Olivia Ruiz le temps d’un duo sur le burlesque « Plus haut ». L’album comprend en outre un véritable morceau de bravoure de 20 minutes, avec une interprétation passionnée de la poésie de Stig Dagerman « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier » par Christian Olivier et Têtes Raides.


Alizée livre ses «Psychédélices»

Sans renier pour autant une aura pop gravée dans la mémoire collective, dans son nouvel album «Psychédélices», Alizée s’évade vers d’autres rencontres, d’autres émotions en phase avec une vitalité créative qui n’a rien d’une marionnette avec des «Psychédélices» hypnotiseurs et envoûteurs !  Car aujourd’hui, Alizée est prête à tenter d’autres mots et d’autres musiques. On la sent enrichie des rythmes de la vie quotidienne et de la maternité. Grâce à des rencontres foudroyantes avec Daniel Darc, Jean Fauque, Bertrand Burgalat et quelques autres, elle devient experte en énigmes et second degré. Avec l’aide de ces grands créateurs, elle a su développer une plus grande sensualité musicale, par ses restes d’innocence, ses débuts de gravité ou par son énergie espiègle, boostée par l’électro rock.


Wu-Tang Clan réduit à huit membres

Le groupe Wu-Tang Clan, l’une des plus célèbres bannières du rap américain, sort l’album «8 Diagrams», cinquième disque studio du collectif réduit à huit membres et premier album à paraître depuis la disparition en 2004, Ol’ Dirty Bastard, un des membres de ce groupe et à qui est dédié cet opus. Musicalement, le groupe reste fidèle aux préceptes définis avec «Enter the Wu-Tang» (36 Chambers), coup de génie initial de 1993 qui a changé la face du hip-hop américain : une production sombre et austère à base de beats rationnés et de samples minimaux et obsédants, qui ne cèdera jamais une once de terrain au r’n’b. Le groupe dédie « Life Changes » à Ol’ Dirty Bastard qui ressurgit comme par miracle sur un 16th Chamber enregistré en 1992.

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