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Paysages de Sylvain Duffard

Après des études dans le domaine de l’environnement et de l’aménagement du territoire, l’investissement professionnel de Sylvain Duffard sur les champs du patrimoine naturel et culturel lui a offert une occasion privilégiée de questionner la notion complexe de paysage, d’en découvrir les principes structurants tout en abordant ses dimensions historique, symbolique et esthétique.
L’appréhension du paysage en tant que «théâtre du réel » est ainsi au cœur du travail photographique sur Agadir qu’expose Sylvain Duffard.  «Le beau comme le mystérieux me semble pouvoir prendre place dans des espaces urbains, le plus souvent perçus comme ordinaires par ceux qui les habitent»,  déclare Sylvain Duffard.

Jusqu’au samedi 10 mai
au Hall de l’Institut français d’Agadir


Rencontre avec Hamid Skif

Universite Chouaïb Doukkali organise dans le cadre de l’événement « Le français dans tous ses états » une rencontre avec l’écrivain Hamid Skif.  Ce dernier, de son vrai nom Mohamed Benmebkhout, est né à Oran. Il se fait connaître à dix-huit ans, après la publication de ses poèmes dans une anthologie consacrée par Jean Sénac à la jeune poésie algérienne d’expression française. Il s’est investi dans la presse algérienne. Il a, entre autres, été responsable de l’APS et a fondé l’hebdomadaire économique « Perspectives ». Il a aussi créé « l’Association des Journalistes Algériens ». Echappant à deux tentatives d’assassinat à Tipaza, il quitte l’Algérie en 1997 pour Hambourg, où le Pen Club allemand l’adopte comme écrivain réfugié en butte à l’intolérance dans son pays.

9 mai à 16h00 – Université Chouaïb Doukkali-faculté
des lettres et des sciences humaines



«Gazouillement des hirondelles»

L’artiste-peintre El Hanni Thami expose ses toiles sous le thème «Gazouillement des hirondelles». L’hirondelle, qui revient en récurrence dans les oeuvres exposées, reflète l’attachement de l’artiste à cet oiseau qu’il a développé depuis sa tendre enfance et utilisé comme symbole de sa création artistique. «L’artiste se distingue par son identité artistique, d’où l’importance de définir son propre cadre de travail», souligne El Hanni Thami, notant, en ce qui lui concerne, le choix de l’hirondelle pour distinguer ses oeuvres s’explique par son attachement à sa vie natale Ouazzane, qui est étroitement liée à cet oiseau. Dans son imaginaire d’enfant l’hirondelle renvoie particulièrement à sa mère. «Elle nous disait souvent que cet oiseau est sacré», dit-il.
 

Jusqu’au 30 avril au
 Théâtre National Mohammed V de Rabat

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