Dans son discours en réponse aux questions des conseillers lors de la séance du mercredi 8 août, le chef de gouvernement a encore confirmé qu’il était toujours sur sa même lancée électorale du 25 novembre. Avant de répondre à la première question, Abdelilah Benkirane, comme il l’a toujours fait depuis le début devant les élus, a tenu un discours sur la crise politique et le Printemps arabe qui, dit-il, ont épargné le Maroc en insinuant comme d’habitude que c’est parce que le PJD a pu enfin accéder au pouvoir que la rue s’est calmée. «Le Maroc d’aujourd’hui n’est pas le Maroc d’il y a un an», a-t-il clamé. D’un autre côté, il a ressorti aux conseillers son traditionnel réquisitoire en leur rappelant que le gouvernement et l’opposition ne sont pas des ennemis mais des partenaires. Le chef de gouvernement a également et de nouveau discouru sur la nécessité de dire désormais la vérité aux Marocains. etc. etc. etc. Quid maintenant du concret M. le chef de gouvernement?









