Editorial

Édito

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Quel est le responsable, à part le ministre de l’économie et des finances, Nizar Baraka, son ministre délégué au Budget, Idriss Azami Al Idrissi et Karim Ghellab, président de la Chambre des représentants, qui a autorisé la modification du projet de loi de Finances 2013 après son adoption par la première Chambre? Il ne s’agit pas là d’une devinette, mais bel et bien d’une question qui reste toujours ouverte. Les trois responsables cités plus haut ont tous démenti tour à tour les informations sur «l’amendement» de l’article 18 bis du PLF 2013. Le plus intrigant dans l’histoire c’est que les responsables ont d’abord nié toute responsabilité sans pour autant démentir directement l’existence d’une deuxième version. La modification d’une loi après sa validation par le Parlement est très grave, mais ce qui est plus grave c’est que la lumière ne soit pas faite sur cette histoire. De même, on n’oserait même pas imaginer que cette information qui a fait polémique ne soit qu’une parfaite intox. Cela tournerait tout simplement à l’absurde.

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