ALM : Après votre consécration dans l’émission «The Voice», comment se dessine l’avenir pour vous et quelle est la prochaine étape?
Mourad Bouriki : Je ne veux pas précipiter les choses et je n’ai aucune visibilité sur ce qui va se passer dans les prochains jours. Mais tout ce que je peux vous dire, c’est que je vais travailler sur une chanson dédiée par mon coach, le chanteur Assi Helani, et composée par Nizar Francis. J’attends juste un feed-back de la part des producteurs et les responsables de la chaîne MBC pour commencer le travail.
Parlez-nous de votre nouvel album qui sera en collaboration avec le producteur international RedOne…
Pour l’instant, la décision finale n’est pas encore prise. Il faut attendre d’y mettre la dernière main. Sinon je suis très ému de travailler avec un producteur international comme RedOne.
Y a-t-il un projet de duo entre vous et votre coach Assi Helani ?
Tout viendra au moment opportun. J’attends avec impatience le jour où ma voix va se confronter avec une voix aussi fabuleuse que celle de Assi Helani. J’ai pu acquérir beaucoup de choses et les notions d’un vrai art et noble lors de mon passage sous sa houlette. D’ailleurs, je suis très heureux d’être l’invité d’honneur de la soirée de fin d’année qui sera animée par lui-même et la chanteuse Haifa Wahbi au Liban.
Quelle est la particularité de «The Voice» en comparaison avec les autres émissions de télé-réalité ?
Pour moi «The Voice» est un télé-crochet à part entière qui permet bel et bien de sélectionner les vrais talents. Sa particularité et sa notoriété apparaissent quand les membres du jury tournent le dos aux candidats lors des premiers castings pour ne juger que par la qualité de la voix, sans prendre en compte le physique et d’évaluer ainsi les apprentis chanteurs «à l’aveuglette».
Que pourriez-vous dire sur «Farawla» ou Farid Ghannam ?
Le Maroc doit être fier de compter parmi ses artistes un vrai talent comme Farid Ghannam. Je lui souhaite bon courage. Un bel avenir l’attend.
