Chroniques

Le mot pour rire: Je compense donc je suis

© D.R

Dans ce billet, je me marrais de ceux que j’avais appelés «ces malins qui ont promis de défendre le pauvre, la veuve et l’orphelin» et qui, en s’attaquant à cette sacrée Caisse de Compensation, allaient taxer surtout, justement, ces «démunis». Or, force est de constater aujourd’hui que, après la décompensation effective de l’essence et du diesel, riches et moins riches sont sur un pied d’égalité. En effet, en coïncidant avec une baisse salutaire du prix du pétrole, tout le monde en a profité.

Je sais que je vous ai déjà parlé de ça il y a quelques jours, mais si j’y reviens, c’est parce que M. Benkirane a ressorti le délicat problème du gaz butane.

Même s’il a toujours l’intention d’affronter la fameuse bonbonne, il nous précise néanmoins que, n’ayant pas de solution miracle aujourd’hui, donc ce n’est pas pour demain. Une manière de nous dire que s’il est parfois courageux, il n’est jamais téméraire.

A demain

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