Société

Agriculture : les stocks de pesticides obsolètes doivent être déclarés avant fin 2015

© D.R

Il est question des distributeurs et importateurs d'intrants agricoles, les organisations de producteurs, les grandes exploitations, entre autres structures. Celles-ci  doivent s’adresser aux services de la protection des végétaux relevant des directions régionales de l’ONSSA.

Objectif : d'identifier les pesticides obsolètes et indésirables existant au Maroc en vue de trouver des solutions adéquates pour les éliminer.

Selon un communiqué de l'Office, cette opération s’inscrit dans la mise en œuvre du programme CleanFARMS Maroc lancée depuis le 6 octobre 2015 par le ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime, représenté par l'Office, en partenariat avec CropLife International.

Par ailleurs, une campagne de communication et de sensibilisation sera lancée, notamment par des réunions d'information, l'élaboration et la diffusion d'outils de communication (dépliants, affiches, spot radiophonique). De plus amples informations sont également disponibles au niveau des sites web de l'ONSSA (www.onssa.gov.ma) et de CleanFARMS Maroc (www.cleanFarms.net/morocco).

Le programme d'identification CleanFARMS Maroc concerne les pesticides obsolètes et indésirables, présentant les risques les plus élevés, détenus par les acteurs des secteurs public et privé. Il s'assigne comme objectifs spécifiques d'actualiser les données de l'inventaire réalisé entre 200 7 et 2010 et de faire le point sur les nouveaux stocks de pesticides obsolètes non inventoriés.

 

Articles similaires

SociétéUne

Les étudiants du privé mieux préparés au marché du travail au Maroc

Environ 78,3% des écoles privées ont des partenariats avec des entreprises

SociétéUne

Béni Mellal-Khénifra: Ait Taleb lance les services de 21 centres de santé urbains et ruraux

Au niveau de la province de Béni Mellal, 11 centres de santé...

SociétéUne

Politique du genre : We4She poursuit son lobbying pour l’égalité en entreprise

Les membres de We4She tous unis pour casser les stéréotypes qui freinent...

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux