Les jours de l’Aïd, nos villes se transforment en villes «fantômes». L’image des rideaux baissés se perpétuent pour devenir tel un rituel qui se prolonge dans notre mémoire collective à l’approche des fêtes religieuses… A l’exception des boucheries, ouvertes pour accueillir ceux qui veulent découper leurs moutons, et de quelques rares épiceries, la plupart des commerces sont fermés.











