La CIA a déclassé des milliers de pages sur le phénomène des ovnis, avec des vidéos à l’appui qui montrent à quel point la vie extraterrestre dans le cosmos est prise au sérieux.
Les documents sont de plus en plus nombreux et attestent tous de «visiteurs» d’autres mondes qui apparaissent dans les cieux terrestres et créent à la fois une sorte de profonde inquiétude, mais aussi une forme de soulagement, sachant que dans un univers qui compte des milliards de milliards de planètes, il est ridicule de penser qu’une seule soit habitée. Des émissions spéciales sur des chaînes de télévision au contenu sérieux, des enquêteurs aguerris, des films, des séries documentaires menées par des chercheurs expérimentés, de hauts gradés militaires, des cinq continents, des pilotes de ligne, des pilotes de chasse, des hommes d’État, des présidents, de hauts responsables, des scientifiques nobélisés, des auteurs et des astrophysiciens, tous, affirment que d’autres formes de vie existent dans l’univers.
C’est dans ce climat où les documents fusent de toutes parts, que celui émanant du Pentagone s’est fait trop attendre. Mais, finalement ça a eu lieu, pas comme les observateurs de l’ufologie s’y attendaient, puisque le rapport ne contient que neuf pages, mais c’est déjà un pas en avant, franchi par le département américain de la défense. En effet, le Pentagone a rendu public ce rapport très attendu sur les observations de ce que les militaires américains ont nommé : «phénomènes aérospatiaux non-identifiés» et non OVNI (Objet volant non-identifié). Ce rapport fait suite à d’autres rapports plus fournis et plus détaillés comme celui du Projet Blue Book.
Ce qu’il faut retenir ici, c’est que les neuf pages du rapport du Pentagone ne font pas dans les révélations fracassantes, mais le fait que ce rapport ait pu voir le jour est une victoire pour les millions d’ufologues qui suivent de très près ce qui se passe dans le ciel depuis au moins 1947 et l’affaire de Roswell. Ce document présente les conclusions d’experts mandatés par le ministère de la défense concernant plus de 120 observations d’objets volants non-identifiés réalisées par des militaires américains au cours des vingt dernières années. Ce rapport découle du fait que le Pentagone a créé un Groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés (Unidentified Aerial Phenomena Task Force) pour examiner les observations d’avions volants inconnus. Le programme a été financé à la demande du sénateur du Nevada, Harry Reid, un démocrate qui représente la région qui englobe la zone 51, le site militaire où, selon plusieurs spécialistes, les restes recueillis lors d’un crash extraterrestre dans la ville de Roswell sont étudiés depuis 1947.
Ces révélations sont agrémentées de quelques images prises par des pilotes de chasse où l’on voit des objets volants non identifiés, dont le comportement dans le ciel dépasse toutes les lois de la physique connues jusqu’à ce jour. Autrement dit, les objets en question, qui volent à des vitesses non-terrestres, à plus de 10.000 k/h, c’est-à-dire Mag 10, se déplacent dans tous les sens, en avant, en arrière, en haut, en bas, avec des pointes d’accélérations hallucinantes et une manoeuvrabilité encore impossible pour les objets volants de technologie terrienne. Pour le département de la défense à Washington, aucun objet conçu et construit par les humains n’a de telles capacités de vol et de déplacement. Même les projets les plus audacieux de l’armée américaine n’ont pas prévu de tels exploits dans les airs, défiant toutes les lois de la gravité. De quoi s’agit-il donc ? De phénomènes inexpliqués, avec cette unique certitude, c’est que ce sont des objets, parfois gigantesques, de la taille d’un stade de football, volant dans les airs, passant à proximité des villes, survolant des centrales nucléaires, approchant de bases militaires, au-dessus des porte-avions, sur des sites de stockage de missiles nucléaires, au-dessus de certains volcans, à proximité des avions de ligne, lors d’exercices militaires, au-dessus de zones de guerre…
Ce qui explique aussi les milliers de témoignages de plusieurs commandants de bord, de plusieurs hauts gradés de l’armée non seulement américaine, mais russe, chinoise, française, allemande, belge, italienne, anglaise, canadienne, japonaise, turque…, de plusieurs responsables militaires de plusieurs grandes puissances, de généraux à la retraite, de colonels, d’astronautes des projets Apollon qui ont produit des témoignages on ne peut plus clairs sur ce qu’ils ont vu lors de leur séjour en orbite et de leurs escales sur la lune, et même de l’ex-ministre canadien de la défense, Paul Hellyer, qui jette un gros pavé dans la mare en 2013 en affirmant, sans détours, que les extraterrestres existent, qu’ils nous visitent depuis des milliers d’années et que l’humanité a été contactée par au moins quatre différentes espèces venant de l’espace.
Même l’ancien Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a révélé à la presse, lors d’une interview, datée du 10 décembre 2012, que les extraterrestres existent bel et bien et visitent constamment la Terre. Il a donné de nombreux détails et expliqué qu’en tant que haut responsable de la Fédération de Russie, le jour où il a reçu les codes nucléaires, il a aussi reçu des dossiers top secret qui montrent, clairement, tous les contacts qui ont déjà eu lieu entre humains et entités venant d’autres planètes. Les deux vidéos, celle du ministre canadien et celle de l’ancien chef du gouvernement russe, sont toujours visibles sur les réseaux sociaux et sur plusieurs sites d’information.
On peut citer d’autres noms de renommée mondiale qui se sont penchés sur le sujet, sérieusement et sans détours, expliquant la nature des contacts, les technologies à l’étude, les grandes avancées technologiques qui ont été rendues possibles grâce à ces échanges, sans parler de tous ceux qui affirment que les visiteurs d’autres mondes sont déjà parmi nous et collaborent étroitement avec les plus grandes puissances de ce monde comme la Chine, le Japon, les USA, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni. Il suffit de faire une simple recherche sur Internet, en consultant des sites sérieux et crédibles, lisant les travaux de chercheurs au parcours irréprochables pour se rendre compte de la masse impressionnante de données collectées qui versent toutes dans le sens d’une collaboration étroite entre les humains et les représentants d’autres planètes dont les technologies sont, de très loin, supérieures à celle des humains.
Ce qui explique leur capacité à effectuer des voyages interstellaires s’appuyant sur leur grande maîtrise de la gravitation et de la vélocité thermomagnétique mise en branle pour rendre les distances les plus lointaines facilement accessibles. Sans parler des secrets militaires pour développer des armes surpuissantes, sans évoquer les programmes de mise en place d’engins volants défiant tous les radars et toutes les données physiques dont nous avons connaissance officiellement aujourd’hui.
À cela s’ajoutent tous les travaux sur l’intelligence artificielle qui est aujourd’hui le cheval de bataille entre les superpuissances planétaires dans leur course à l’armement et à la domination militaire et économique.














