Le projet de loi de finances (PLF) au titre de l’exercice 2026 se veut une feuille de route pour consolider l’émergence économique, conformément aux Hautes Orientations Royales, à travers une dynamique d’investissement soutenue, le renforcement des métiers mondiaux du Maroc et une montée en puissance industrielle qui positionnent durablement le Royaume sur les chaînes de valeur mondiales.
Le Maroc affirme son émergence à travers des programmes d’investissement d’envergure relatifs notamment à l’extension de la flotte de Royal Air Maroc (RAM) avec 160 milliards de dirhams (MMDH), le développement de la ligne LGV Kénitra-Marrakech (96 MMDH), la modernisation des aéroports (25 MMDH), ainsi que des projets énergétiques majeurs dans le gaz et l’hydrogène vert, indique la note d’orientation dudit projet adressée par le Chef du gouvernement aux départements ministériels.
Ces investissements structurants répondent à la fois aux priorités des stratégies nationales et sectorielles et bénéficient de l’effet catalyseur des grands évènements sportifs à venir, relève la note.
Et de noter que cette trajectoire consolide la forte attractivité des investissements directs étrangers (IDE), en hausse de 28% à fin juin 2025, confirmant la confiance des investisseurs internationaux.
Le Maroc poursuit cette dynamique économique à travers la montée en puissance des métiers mondiaux, notamment l’industrie, les énergies renouvelables, le tourisme et les services numériques, affirme la même source.
Cet essor constitue un levier central de l’émergence en générant des emplois qualifiés, en créant de la valeur ajoutée, en diversifiant les exportations et en positionnant le Royaume dans les chaînes de valeur mondiales.
Ce socle d’investissement prépare ainsi le Maroc à une transformation économique de fond, fondée sur l’investissement productif, l’autonomisation des acteurs et la compétitivité, poursuit la même source.
Dans ce cadre, la Nouvelle Charte de l’Investissement jouera un rôle déterminant pour stimuler l’investissement privé, en orientant les efforts vers les secteurs à forte valeur ajoutée, la création d’emplois stables et le développement équilibré des territoires.













