Chroniques

SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et les ouvriers

© D.R

Osmose
Cette rencontre entre SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et les ouvriers du Complexe Moulay Abdellah, au-delà de la magnifique image, revêt une signification profonde, riche de sens et de valeurs.

Les photos et vidéos de Smit Sidi saluant et applaudissant les ouvriers ayant construit le stade Moulay Abdellah de Rabat ont fait le tour de la Toile, partout elles ont fait l’unanimité.
Le nombre de vues, de likes, de commentaires a explosé tous les compteurs. Pour les Marocain(e)s. elles sont une manifestation naturelle de cette osmose qui existe depuis toujours entre la Famille Royale et le peuple, pour les non-Marocains qui aiment notre pays elles sont vues avec curiosité et sympathie…
Il faut dire qu’elles sont émouvantes…
Je le dis toujours, il est très difficile de comprendre ce sentiment pour qui ne le vit pas du «dedans» et ne le perçoit que de «l’extérieur». Pour qui ne ressent pas en lui ce lien.
Quant à nos ennemis, cette fusion constitue le mur de béton contre lequel se fracassent toutes leurs tentatives de déstabilisation.
J’en veux pour preuve le dernier article en date d’un «journal» algérien qui n’en peut plus de déblatérer sur la santé de notre Roi et se permet des dérives indignes… pendant que Sa Majesté – imperturbable et Hamdoulillah en bonne santé – quant à Lui, inaugurait et lançait avec une réelle fierté de grands chantiers à Casablanca.
La différence (l’une des différences… car elles sont nombreuses) entre eux et nous, c’est qu’eux croassent quand nous, nous croissons !!!!!
Pour en revenir à mon sujet initial, cette rencontre entre SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et les ouvriers du Complexe Moulay Abdellah, au-delà de la magnifique image, revêt une signification profonde, riche de sens et de valeurs.
Le Roi, chez nous, naît, grandit et mûrit avec nous, dès sa naissance il est nous et nous sommes Lui, en fait nous sommes une famille. Qu’Il souffre et nous souffrons avec, par et pour Lui, que nous soyons touchés par un quelconque malheur (le séisme d’El Haouz, le petit Rayan -Allah irahmou- coincé dans un puits…) et le Souverain s’implique, prend sa part du fardeau, nous indique la voie.
Dernier exemple, Sa Majesté dénonçant dans Son dernier discours «un Maroc à deux vitesses» avec le pressentiment très juste de ce que vit la population d’un certain Maroc, qui éclatait au grand jour lors de l’indignation populaire vis-à-vis du système de santé.
Smit Sidi a fait rejaillir en chacun de nous ces sentiments mêlés d’affection, d’identification et de reconnaissance selon notre génération, voyant en Lui, un petit-fils, un fils ou un frère.
Sa naissance, son baptême, son enfance, son adolescence font partie de notre mémoire collective.
Le voir aujourd’hui, Tbarkallah, à l’âge de 22 ans – sur instruction de Son papa, notre Roi – inaugurer ce Complexe qui attire toutes les louanges – et avec un large sourire de fierté et de reconnaissance éclairant son visage rendre hommage à ces travailleurs modestes et talentueux, avait quelque chose de majestueux et d’émouvant.
La classe et la modestie.
Il ne cachait pas Son plaisir, nous ne cachions pas notre émotion.
ô je sais bien que «certains», sans même chercher à lire et à comprendre mon propos, ne voudront voir dans mon témoignage que de dithyrambiques louanges, incapables qu’ils sont de comprendre le langage du cœur, ils ne peuvent ou ne veulent pas percevoir ce qu’est la sincérité…
Ils sont ultra minoritaires et leurs sarcasmes n’atteindront jamais mon degré de plaisir à écrire cela, ni le bonheur ressenti par toute une population !
Au lendemain de cet événement la discussion avec les jeunes a tout naturellement porté sur ce que les réseaux sociaux leur ont permis de voir et de partager : je n’ai pas été surpris de voir que les générations actuelles suivent tous les gestes de notre Roi et du Prince Héritier via Insta, TikTok ou Facebook -le nombre de groupes et de profils de fans, de followers, d’admirateurs est d’ailleurs incroyable, mais j’ai constaté à quel point le phénomène «d’identification» de la jeunesse à Smit Sidi était grand. Je ne sais si le mot identification est d’ailleurs le mieux approprié, il faudrait inventer un mot réunissant tout ce que j’ai perçu…Toujours est-il que je suis conscient de ce qui fait de nous un peuple spécifique, incompréhensible pour certains sans doute mais profondément attachant et authentique, réellement uni – pluriel et un –
Ces photos de SAR le Prince Héritier parmi les ouvriers ne sont pas les images d’une actualité qui seront chassées par d’autres, croyez-moi – et je vous donne rendez-vous quand vous voulez – elles sont les incrustations de notre mémoire collective, de celles qui marquent les albums de famille.

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