Culture

7ème édition du Jazz in Riad : louis Winsberg septet en ouverture

Des jazzmans habités par la musique, invitant à la magie, dans la complicité de leurs musiciens, de leur public… «le jazz en partage» reste le mot d’ordre du Jazz in Riad. La septième édition de ce festival aura lieu du 8 au 10 octobre. Pour l’inauguration, le jazz, musique libre sortira du Riad: Le groupe «Roller Brass Band» (jazz-funk festif roller) offrira un spectacle déambulatoire dans la médina. De retour au musée Batha , le concert d’ouverture est assuré par le septet «Marseille-Marseille» de Louis Winsberg. En programmant ce guitariste récompensé par le «Django d’Or» en 2008, catégorie musicien confirmé, Jean-Claude Cintas, directeur artistique de Jazz in Riad ne prend pas de risque. Pour garantir «de grands moments d’émotions», ce dernier, continue à inviter, des artistes «aux grands cœurs». Ainsi la liste a retenu la «Le Golden Gate» qui sera sans contexte la révélation de tous les amateurs de Jazz présents à Fès au Musée Batha ce 9 octobre à 21h. La révélation dans le sens religieux puisque «Golden Gate offrira à tous les amateurs de gospel l’occasion d’assister au triomphe du génie vocal de l’Amérique noire», nous disent les organisateurs. Le concert de la Brésilienne Monica Passos avec son quartet est prévu le 9 octobre à 16 h . «Elle se réclame à la fois du Sergent Pepper des Beatles, de la Bossa Nova, de Janis Joplin et d’Ella Fitzgerald. D’une curiosité artistique sans limites, elle trouve dans le mouvement de la world music les épices nouvelles qui pimentent sa musique et font qu’elle ne ressemble à aucune autre», indiquent les organisateurs. Hadouk Trio (dimanche à 16 h) inviteront les mélomanes au voyage avec leur mélange de sonorités exotiques : «les flûtes, saxophones, toupies, zeff et doudouk de Didier Malherbe s’harmonisent avec les instruments africains (kora, hajou, gumbass) et les claviers de Loy Erlich, le tout étant enveloppé, enrubanné par les percussions toutes aussi diverses (africaines, asiatiques, brésiliennes) de Steve Shehan». Le public aura également droit à la projection d’un film musical «Assikel – Voyage de Bali à Baly» un film concernant justement Steve Shehan, percussionniste de Hadouk Trio, et qui retrace la quête d’une identité retrouvée grâce à la musique (le 10 octobre à 11h à l’Institut français de Fès). Figurent également au programme des «conférences-projections», une rencontre autour de «Violons du monde», film de rencontre entre Didier Lockwood et des musiciens arabo-andalous de Fès (9 octobre). Le concert de clôture se fera avec «Keltic Tales quintet», un groupe fondé par Gildas Boclé qui a accompagné les plus grandes pointures du jazz, de l’Europe aux USA. N’oublions pas l’exposition «L’arbre du Jazz» de Philippe Baudoin et Isabelle Marquis, 18 panneaux sur l’histoire du Jazz qui retracent les différents courants et influences de ce genre musical exposés dans les jardins du musée Batha.

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