Durant ses vacances, l’actrice marocaine Fatima Kheir ne cache pas son faible pour les voyages organisés en Asie. «Lorsque je suis en vacances, je préfère aller en Asie et plus particulièrement en Thaïlande avec mon mari et ma fille. Le paysage est grandiose et il y a tant de belles choses à découvrir», confie-t-elle à ALM. Et d’ajouter : «les voyages organisés dans le continent asiatique sont une véritable opportunité. Cela ne demande pas de gros moyens, puisque les tarifs sont tout à fait convenables».
Cette année, l’actrice marocaine a un planning bien chargé. Elle sera membre du jury du premier festival international du film arabe qui se tiendra du 28 juillet au 3 août dans la capitale algérienne et sera présidé par l’acteur égyptien Hussein Fahmi. Dès son retour d’Algérie, Fatima Kheir projette de prendre une quinzaine de jours pour aller en Thaïlande ou à Istanbul. L’année dernière, ses vacances ont été partagées entre le nord, à Tétouan, et le sud, à la Palmeraie de Marrakech. Fatima ne cache pas que, durant son voyage à Tétouan, elle a trouvé des difficultés : «il faut réserver deux ou trois mois à l’avance, ce qui n’est pas évident vu que dans notre métier, on ne sait jamais à quelle date on pourra se libérer».
Pour Fatima Kheir, les artistes ne disposent pas de leur temps et sont en quelque sorte toujours en vacances. «Lorsqu’on est artiste, on ne travaille pas toute la journée comme le font les fonctionnaires. Ce n’est pas un travail routinier, loin de là. Lorsque je suis en tournage durant trois mois, les trois autres mois, je me repose». Par ailleurs, l’actrice marocaine avoue: «chaque jour passé avec mon mari et ma fille est un beau souvenir. C’est pourquoi je n’ai pas un souvenir de vacances d’été». Pour Fatima Kheir, les vacances sont des moments de repos bien mérité. «Lorsque l’on travaille dure toute l’année, on a le droit de partager des moments de plaisir avec ses proches. Les vacances doivent être méritées». en concluant avec sa modestie habituelle «lorsqu’on voyage quelle que soit la destination choisie, on va en fonction de ses propres moyens. Je suis contre le fait de prendre un crédit pour voyager».