Si le constructeur japonais a accusé un recul de ses ventes, c’est en grande partie dû à une baisse de 11,5% au Japon sur le segment des «key cars» (mini voitures de moins de 3,40 m). Ainsi, le japonais laisse sa place de leader du marché mondial, acquise en 2008 et cédée en 2011 au groupe Volkswagen, en raison des conséquences du tsunami.
Toutefois Toyota pourrait amenuiser ce retrait dans les mois qui viennent, grâce à son usine de plus d’un milliard d’euros qu’elle vient d’installer au Mexique et qui est destinée au marché nord-américain. De plus, l’outil de production sera bientôt renforcé en Chine, avec une nouvelle ligne de production.