Chroniques

C’est pas moi, c’est lui !

© D.R

Je n’aime pas les embouteillages, mais ils ont ça de bien, c’est qu’ils vous poussent à faire autre chose en attendant que ça se décongestionne. Moi, je me suis mis à zapper sur mon autoradio, et je suis tombé sur un grand dirigeant politique et néanmoins imposant ténor du barreau (je vous fais un dessin ?) qui était au «banc des accusés», l’émission qui porte le même nom.

J’ai retenu 2 éléments majeurs de cet entretien haut en couleurs et en couleuvres. Un : celui qui possède l’image ingrate du méchant gars et de la grande gueule s’est montré plus que sympa avec ses adversaires «conservateurs» qu’il prie, voire qu’il supplie, d’être un peu plus soft dans leur bataille verbale à son égard.

Deux : à une question sur l’éventuelle faible participation aux prochaines élections, il a répondu exactement ceci : «C’est très possible, mais ça sera la faute de ceux qui dirigent le gouvernement». Traduction : l’envers, c’est les autres. Vraiment, c’est trop facile…

A demain

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