Chroniques

Détresse et dents de sagesse

© D.R

Si je vous rappelle cette anecdote basique, c’est parce qu’en lisant un journal très sérieux qui parle en général plutôt de responsables tapeurs ou de voyous tapageurs, j’ai appris qu’un moqadem aurait été mordu, après avoir été bien tabassé, par une policière.

J’ai bien écrit «policière» et pas «policier», c’est-à-dire qu’il s’agit du symbole de la féminité ouverte à la fois sur la sécurité et sur la modernité. De plus, elle n’était pas seule, mais accompagnée par une amie et deux de ses sœurs ! En gros, 4 femmes dans le vent et qui vont provoquer une tempête.

Et pourquoi tout ça ? Parce que notre pauvre auxiliaire de l’autorité était venu signifier à des habitants d’un bidonville l’aspect illégal de la construction d’un étage sur leur baraque. Voyez-vous, ça plane très haut. Donc, si j’ai bien compris, la policière n’avait fait que défendre sa famille, ce qu’aurait fait n’importe quelle autre citoyenne, mordeuse ou pas. Si ça, ce n’est pas de l’info !…

A demain

Related Articles

ChroniquesUne

Pourquoi le tifinagh reste difficile à écrire : Une hypothèse psychologique

Dans de nombreuses sociétés, ne pas écrire n’est pas un manque, mais...

ChroniquesUne

Plus on médite, plus on est en droit d’affirmer qu’on ne sait rien!

Chemin vers soi  Tout le monde prétend à une position, à un...

Chroniques

Tebboune et les Arabes, un rejet permanent !

Pour tenter de se dédouaner de cette animosité clairement assumée à l’égard...

Chroniques

Boissons énergisantes : Le poison ordinaire de la performance

Ce qui semblait n’être qu’un ingrédient de confort devient un facteur de...

Lire votre journal

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux