Chroniques

Le marteau, la faucille et le livre…

© D.R

Bien au contraire, pourrais-je même dire. En fait, je voudrais vous parler des éternels puritains qui ressurgissent à la veille de chaque été ou plus précisément à la veille de chaque saison des festivals estivaux. Les raisons invoquées sont toujours les mêmes : «gaspillage des deniers publics» et «débauche».

Je dois reconnaître que depuis 3 ou 4 ans, ils s‘étaient un peu calmés, et j’avais compris pourquoi, mais J’ai l’impression qu’ils sont en train de reprendre de plus belle, et là aussi, je crois avoir compris. Cela dit, je pense que cette année, ils ont décidé d’ajouter de l’eau dans leur vin, si je puis m’exprimer ainsi.

En effet, lors d’une des dernières séances de questions orales du Parlement, j’en ai entendu un qui jurait qu’il n’avait rien contre ces festivals et qui préconisait, je le cite, «de les reporter après les moissons scolaires et agricoles».

Pourquoi alors ne pas arrêter la diffusion de la télé et de la radio, fermer les salles de cinéma et de théâtre et tout autre lieu de loisirs et de divertissement… jusqu’à la fin des moissons.

A demain

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