Chroniques

Le mot pour rire: Absence, gouvernance, aberrance…

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Ne dit pas que des bêtises et que s’il a perdu son étiquette politique en route, il garde toujours son impertinence parfois très pertinente. Mardi dernier, lors de la séance parlementaire mensuelle consacrée au questionnement du chef du gouvernement – et qu’on devrait appeler, pourquoi pas, «Questions pour un Champion» – il n’a pas manqué de critiquer assez violemment l’absence remarquée de ses ex-compères de l’Istiqlal.

La raison invoquée par ces non-présents – un déplacement à l’occasion du nouvel an Amazigh – ne l’ayant pas convaincu, il a qualifié cette absence de «folie politique». Oui, il y est allé un peu trop fort, mais je crois qu’il n’avait pas tout-à-fait tort. Quoique… Au fond, c’est vrai, comme il l’a signalé lui-même, ce n’est pas aux parlementaires de décréter eux-mêmes ce jour-là, jour férié, mais, peut-être qu’un jour, qui sait, ça le deviendra. Et à ce moment-là, je suis sûr que M. Louafa sera le premier à ne pas être là. Comme quoi, les fous d’hier…
A demain

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