C’est tout-à-fait par hasard que j’ai trouvé cette info qui était enfouie dans une des pages intérieures d’un confrère arabophone alors qu’elle méritait au moins la Une : Les Casablancais seraient bientôt obligés, tous et toutes en même temps, de peindre leur façade en blanc. En cas de refus, ça serait fait de force par les forces concernées et, bien entendu, aux frais des affreux réfractaires.
Maintenant, je suppose, n’est-ce pas, que vous voulez savoir mon avis sur cette décision… artistique? Et bien, je vais vous le donner : même si je pense en mon âme et conscience, que cette initiative est plus d’ordre politique qu’esthétique, je la soutiens fortement. Et vous voulez savoir pourquoi ?
Parce que même si elle risque de blanchir certains responsables pas très nets, et qui se reconnaîtront, elle va au moins permettre à cette grande ville qu’on se plaît à nommer parfois, et pas toujours à tort, Casanegra, d’être un peu plus présentable.
J’ai juste peur d’une seule chose : que tout le monde ne soit pas traité sur un pied (blanc) d’égalité.
A demain