Chroniques

Le mot pour rire: C’est le destin de tout un chacun…

© D.R

C’était lundi dernier, lors de l’ouverture du 12ème Festival du Court Métrage Méditerranéen de Tanger. Il s’agit d’un  joli petit court métrage réalisé il y a quelques mois par Noureddine Lakhmari et qui avait donné la parole à plusieurs protagonistes du cinéma au Maroc, ceux qui ont été et ceux qui sont en train d’être, et qui ont exprimé, chacun à sa manière, ce qu’ils pensent de leur métier ou ce qu’ils rêvent pour lui. Rien à dire, sinon que c’est une louable et sympathique initiative.

Mais je pense que ce qui a surtout marqué les spectateurs ce soir-là, c’est la fin de ce film. On y voit l’ex-directeur du Centre Cinématographique Marocain, CCM pour les intimes, assis dans un bureau plutôt austère, puis qui se lève, prend son manteau et, sans prononcer un seul mot, se dirige vers une petite porte de laquelle il sort et disparaît. Avant, on disait que la fiction dépasse parfois la réalité, aujourd’hui on peut dire qu’elle peut également la devancer.

A demain

Related Articles

ChroniquesUne

Pourquoi le tifinagh reste difficile à écrire : Une hypothèse psychologique

Dans de nombreuses sociétés, ne pas écrire n’est pas un manque, mais...

ChroniquesUne

Plus on médite, plus on est en droit d’affirmer qu’on ne sait rien!

Chemin vers soi  Tout le monde prétend à une position, à un...

Chroniques

Tebboune et les Arabes, un rejet permanent !

Pour tenter de se dédouaner de cette animosité clairement assumée à l’égard...

Chroniques

Boissons énergisantes : Le poison ordinaire de la performance

Ce qui semblait n’être qu’un ingrédient de confort devient un facteur de...

Lire votre journal

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux