Chroniques

Le mot pour rire: Comprenez-moi…

© D.R

En fait, ce sont les syndicats affiliés plus ou moins aux partis dits d’opposition, ou assimilés, qui ont décidé de mettre leurs menaces à exécution, pour, nous disent-ils, «protester contre les mesures prises par le gouvernement et qui portent un coup au pouvoir d’achat des salariés…». N’étant ni salarié, ni syndiqué, ni assimilé, je suis mal placé pour juger de la pertinence ou non de cette grève, ou, comme l’a appelée un dirigeant syndical, ce «débrayage».

Justement, en face, celui dont on attend toutes les solutions qui ne viennent toujours pas, lui, a «embrayé», d’abord en répondant du tac au tac, et avec peu de tact, à ses «amis jurés», tout en les suppliant de le «comprendre» et de le laisser bosser… Je ne crois pas qu’il y aura grand monde qui va le faire…
A demain

Related Articles

ChroniquesUne

Pourquoi le tifinagh reste difficile à écrire : Une hypothèse psychologique

Dans de nombreuses sociétés, ne pas écrire n’est pas un manque, mais...

ChroniquesUne

Plus on médite, plus on est en droit d’affirmer qu’on ne sait rien!

Chemin vers soi  Tout le monde prétend à une position, à un...

Chroniques

Tebboune et les Arabes, un rejet permanent !

Pour tenter de se dédouaner de cette animosité clairement assumée à l’égard...

Chroniques

Boissons énergisantes : Le poison ordinaire de la performance

Ce qui semblait n’être qu’un ingrédient de confort devient un facteur de...