Chroniques

Le mot pour rire: … Et la saleté s’en va

© D.R

Depuis l’ouverture du Festival Mawazine et même bien avant, j’ai lu, vu et entendu ça et là beaucoup de mauvaises langues rigoler cyniquement sur le changement brusque de la position de certains responsables du PJD vis-à-vis  de cet événement artistique qu’ils qualifiaient, dans le passé, d’action «diabolique».

Ne cherchez, je vous en prie, aucune ironie dans ce que je vais vous dire, mais je crois sincèrement qu’au lieu de critiquer ces gens-là ou de se moquer d’eux, il faudrait plutôt les applaudir. Ne dit-on pas, n’est-ce pas, que « seuls les imbéciles ne changent pas d’avis» ? Avant, ils étaient contre et le criaient très fort, aujourd’hui ils ne pipent plus mot, et alors ?

Où est le problème ? Maintenant, si vous voulez savoir le pourquoi de cette « volte-face », comme se plaisent à l’appeler certains plaisantins, moi je n’ai pas de réponse à tout, mais, je pense que c’est un peu comme une veste.

Si vous voulez montrer que vous avez changé, il vous suffit parfois juste de la retourner. Quoi ? L’art propre ? Mais, ça n’a rien à voir… N’importe quoi !…
A demain

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