Chroniques

Le mot pour rire : Il n y a pas que Sharon Stone…

© D.R

Il y a certains préjugés envers le FIFM – Festival de Marrakech pour les initiés et les  intimes – qui ont vraiment la peau dure.

Parmi ces préjugés,  il y a le classique : «on y dépense trop de fric, alors que le peuple, etc.», le ringard : «on y invite n’importe qui, alors que les vrais artistes, etc.» et le sournois et presque raciste : «ce n’est pas un festival marocain…».

C’est vrai que moi aussi, je n’ai jamais été très tendre envers cet événement hors limites, mais j’ai toujours reconnu qu’au-delà du débat creux sur son impact ou pas, nous avons non seulement le privilège et le plaisir de voir, voire de côtoyer les immenses stars du cinéma mondial, mais surtout d’admirer les plus grandes œuvres cinématographiques du moment, et de plus, dans des conditions techniques et artistiques absolument exceptionnelles.

Et ne serait-ce que pour ça, je n’ai pas honte, moi le  râleur chronique et néanmoins cinéphile incurable, de défendre ce festival jusqu’à la dernière image. Quant à Sharon Stone, si ma femme n’était pas avec moi, je vous jure…
A demain

Articles similaires

Chroniques

Un peuple éduqué sera toujours un peuple responsable

Aujourd’hui, est analphabète non pas celui qui n’aura pas appris à lire,...

Chroniques

Mon ami le stress …

Pour mieux t’identifier et ne plus te confondre car ça nous arrive...

Chroniques

L’âme d’un pays !

Les centres culturels et les théâtres restent le plus souvent en manque...

Chroniques

Le Polisario, un poison africain

Que ce soit sur le plan diplomatique ou sportif, le Polisario pose...