Chroniques

Le mot pour rire: Jamais d’eux sans toi…

© D.R

 On avait vu que son arrivée à la tête du parti de la rose qui n’avait plus d’épines ne s’était pas faite sans bruit, qu’il n’avait pas que de sérieux adversaires, mais aussi de vrais ennemis, mais personne ne pouvait prévoir qu’il allait s’en débarrasser d’une manière aussi expéditive et aussi collective.

Si l’on croit une source qui semble bien informée, plusieurs groupes s’apprêtent à partir ou seraient déjà partis pour désunir leurs forces et créer, forcément, trois mini-partis, chacun selon ses envies et chacun selon ses désirs inassouvis. Tous et toutes étaient si pressés de sortir que leur big boss n’a pas même pas cherché à les retenir.

D’ailleurs, il n’aurait jamais réussi car, au-delà du désamour qu’ils vivent ensemble depuis le dernier congrès, je crois que ce qui leur importait le plus, c’est d’être prêts pour les prochaines élections… Eh oui ! Plus on est des rebelles et des têtus et plus on pense qu’on a des chances d’être élus…

A demain

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