Chroniques

Le mot pour rire : Je chôme donc je persiste et signe

© D.R

Cette histoire du «PV du 20 juillet» est un vrai drame comique. Je vous la raconte. Le 20 juillet  2011, Abbas El Fassi, se sachant peut-être potentiellement très prochainement partant, avait signé un «procès-verbal» à travers lequel il avait engagé son gouvernement sans détours à engager sans concours des diplômés-chômeurs pas du tout pressés d’en passer.

Hélas le précieux laisser-passer qui devait leur ouvrir sans peine les portes d’un fonctionnariat peinard, s’est avéré un vulgaire circulez-il-n’y-a-rien-à-recruter, puisque le nouvel Exécutif a refusé de l’exécuter. Tristes, mais déterminés, nos chômeurs  futés se sont mis au boulot en décidant de poursuivre le gouvernement au tribunal administratif, lequel, n’ayant rien à perdre, leur a rendu justice.  Entre-temps, une nouvelle Constitution et de nouvelles lois sont venues clairement signifier à tout ce bon monde que pour bosser, il faut désormais secouer ses méninges  et croire une fois pour toutes qu’un chômeur, fut-il diplômé, n’est qu’un citoyen sans plus et sans moins.
A demain

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