Je ne croyais pas si bien dire. En effet, je viens d’apprendre que notre (peut-être) futur ex-ministre des jeunes et des sportifs a été plus ou moins lâchement lâché par les siens. Ils sont mêmes allés jusqu’à affirmer que, lui ou un autre, un ministre est entièrement responsable de tout délit commis par un ou une de ses subalternes et doit donc en supporter toutes les conséquences.
Mais la meilleure pour ne pas dire la pire, toujours selon les siens, c’est qu’il n’est pas le seul responsable, mais que le gouvernement dans son ensemble – et dont ce ministre fait partie – doit assumer solidairement cette responsabilité.
Quelles déductions peut-on faire de cette originale profession de foi ? Moi, je n’en vois qu’une seule : la meilleure manière de noyer son ministre, c’est de faire semblant de plonger avec lui.
A demain