ça y est ! La trêve est finie ! Mon flirt avec le gouvernement qui n’en est pas un vraiment (je parle du flirt, pas du gouvernement) est terminé. Je reviens à mon premier amour et mon activité préférée : satirer sur tout ce qui ne bouge pas. Et, ça tombe bien, ça ne bouge pas des masses.
Pourtant, depuis quelques jours, il tombe des cordes. Ne dit-on pas que «pleuvoir, c’est pouvoir» ? Maintenant que la terre est rassasiée et toute prête, qu’est-ce qu’on attend pour lui donner un bon coup de charrue ? (J’ai failli écrire «un bon coup de tracteur», mais j’ai peur que ça prête à confusion).
En tout cas, en plus du fait que cette merveilleuse pluie lave nos chagrins et nous donne des envies de câlins, elle empêche également certains décideurs de nous la sortir comme mauvais argument et comme fausse justification à leur immobilisme inné et chronique. Comme pourraient dire les fils de pub qui, à chaque fois qu’il pleut, se frottent les mains : «Quand la pluie est là, la fumisterie s’en va !».
Allez les fainéants et les tire-au-flanc, au boulot !
A demain