C’est demain que, comme chaque année, des dizaines de milliers d’élèves vont affronter ce monstre séculaire appelé le Bac, et qui est censé être le sésame qui ouvre toutes les portes du paradis terrestre.
Vrai ou pas, tous ceux et toutes celles qui sont passés par cette épreuve, savent que c’est, d’abord, un véritable enfer. Et ça l’est encore plus pour une catégorie de candidats qui, par fumisterie, par crétinerie, ou parfois les deux, ne s’y préparent pas du tout, ou bien, s’y préparent à grands coups de pense-bêtes ou autres «7jabates».
Il paraît que ces dernières années, les cancres resquilleurs ont fait appel à Internet, aux smartphones et à toute l’artillerie moderne.
Sauf que notre ministre de l’éducation, tout ouvert aux nouvelles technologies qu’il est, ne semble pas l’entendre de cette oreille, et a décrété cette année un «Bac sans copieurs».
Je crois que c’est un peu comme «les villes sans bidonvilles» : on va faire tout ce qu’on peut, mais il ne faut surtout pas casser la baraque. Bon courage à tout le monde quand même.
A demain