Chroniques

Le mot pour rire : Un moustachu, ça va, deux moustachus…

© D.R

… Bonjour le thermostat ! D’abord, je dois vous dire un truc : j’ai parié avec un ami sur la victoire du tonitruant Lachguar à la tête de l’USFP et, bien sûr, j’ai gagné. Entre nous, c’était super fastoche. En fait, quand Chabat avait affronté le camp des Fassi que je croyais imbattable, j’avais été battu à plate couture. Et c’est à ce moment-là que j’avais commencé à piger. Pour moi, si Chabat est passé, c’est parce que, c’est vrai, une majorité a voté pour lui, mais aussi, parce qu’il correspond à cette nouvelle race de leaders que craignent les dirigeants, mais qu’ils se pressent d’aider à mettre sur orbite. Dans quel intérêt ? C’est simple. Un : un leader est, par définition, quelqu’un avec qui on peut discuter et, donc, qu’on peut amadouer, fût-il un ex-excité. Deux : plus on a de leaders ex-excités amadoués, et plus on a des chances d’avoir la paix. Et trois : plus on a de rivaux – j’ai failli dire « rivales » –  à son adversaire principal, et plus on est sûr d’assister à de beaux spectacles.

A demain

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