Chroniques

Le mot pour rire : Zoo-politique et déviation

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Je ne voudrais pas généraliser, mais je crois que certains ministres de l’actuel gouvernement, et plus précisément quelques-uns parmi ceux qui le dirigent (non, je ne vais pas donner de noms!) ont une prédilection pour la zoologie. Personnellement, je n’ai absolument rien contre ni les crocodiles dont j’aime beaucoup les chaussures, ni les grenouilles dont j’apprécie particulièrement les cuisses, ni même les sangliers – ou ce qu’on appelle « les cochons de la forêt » – dont… rien du tout, mais j’estime qu’on doit laisser tranquilles ces malheureux êtres car ils ont déjà assez de problèmes comme ça. D’ailleurs, les pauvres pitbulls, dobermans et autres caniches s’attendent, eux aussi, à un grand massacre. Mais, ils ne  nous ont rien fait, eux ! Ce ne sont pas, eux, les responsables de nos malheurs. Alors, s’il vous plaît, si vous n’avez pas le courage d’appeler un chat, un chat, un corrompu, un voleur et un détourneur, un salopard, ayez au moins la décence de ne pas réveiller le diable que d’ailleurs vous ne ménagez pas non plus. A demain

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