Ils ne font RIEN, sinon épier ce que font les autres, et aussitôt que l’un de ces autres agit ils fondent sur lui comme les vautours sur une proie. C’est leur raison de vivre, leur but ultime: tenter de discréditer, jeter la suspicion, injurier, en fait ils s’emploient à dénigrer ceux qui agissent pour essayer de cacher qu’eux-mêmes ne font rien.
Ils sont omniprésents, sévissent sur tous les réseaux sociaux, leurs posts, leurs publications sont de longues litanies de sarcasmes, de dénigrement, de critiques gratuites. Scrutez bien leurs profils : vous n’y trouverez aucune action, aucune initiative, aucune proposition… non, juste une succession de «Yaka» «Fokon». Ils ne font RIEN, sinon épier ce que font les autres, et aussitôt que l’un de ces autres agit ils fondent sur lui comme les vautours sur une charogne. C’est leur raison de vivre, leur but ultime: tenter de discréditer, jeter la suspicion, injurier, en fait ils s’emploient à dénigrer ceux qui agissent pour essayer de cacher qu’eux-mêmes ne font rien. Rien sinon lever le petit doigt pour jouer du clavier.
D’ailleurs un surnom leur a été donné par les militants du terrain : les planqués du clavier !
Leurs messages de dénigrement gratuit ont beau être supprimés, eux-mêmes ont beau être dégagés, ces «inspecteurs des travaux finis» et autres donneurs de leçons -trolls ou vrais profils- reviennent sans aucune pudeur critiquer toute action !!!
– Distribuer des ftours aux plus démunis serait de «l’assistanat», voire «donner des restes»
– Etre d’un avis contraire au leur ? Le signe que tu n’acceptes pas la contradiction
– Mettre un drapeau sur son profil une «provocation»
– Prôner le dialogue à Al-Hoceima une lâcheté, il FAUT exiger la libération des mis en cause
– Publier une photo de notre Roi est le signe que tu es «vendu au Makhzen»
– Être actif sur le terrain ne peut être pour eux que la preuve que tu es carriériste, opportuniste, arriviste… j’en passe et des pires, oublieux qu’ils sont qu’eux-mêmes révèlent ainsi leur inutilité, leur vacuité. Vous l’aurez compris, tout est bon pour critiquer, dénigrer, tenter de salir, de discréditer, d’amoindrir tout engagement…
Tout(e) militant(e) a appris «à faire avec», à ne plus se sentir atteint par leurs sempiternelles critiques et surtout à ne pas baisser les bras, bien au contraire ! Qu’ils descendent donc de leurs claviers, qu’ils mettent donc les mains dans le cambouis et ils verront à quel point ils «iront mieux», à quel point leur aigreur se transformera en envie… envie de vivre par eux-mêmes et non par procuration…
Bien sûr ils continueront à taper sur tous ceux qui, eux, à la protestation préfèrent l’ACTION, car agir demande du courage, de la volonté, un dépassement de soi – autant de qualités qu’ils n’ont pas.
Aujourd’hui les réseaux sociaux sont en fait révélateurs de 2 catégories : ceux qui tentent de faire œuvre utile et qui sont les ouvriers -modestes- du mieux-vivre de leurs compatriotes et utilisent le Web pour partager, communiquer, relayer, être «exemplaires», passer des messages positifs, unir les forces et multiplier les connexions et ceux qui n’ont de cesse de démolir, se moquer, harceler… avec ce sentiment de condescendance, de supériorité feinte qui perce à travers chacune de leurs publications.
Il est utile que régulièrement un militant pousse un coup de gueule contre ces parasites d’un nouveau genre, pour -au nom de tous ceux qui agissent- remettre à leur place ces donneurs de leçons : le vide !