Chroniques

Télés : crise de pub ou de puberté ?

© D.R

En fait, si je n’en ai encore rien dit, c’est parce que je n’en ai rien à dire pour la simple raison que je n’ai presque rien vu. Je ne vais pas jouer au snob ou à l’intello qui boude les locales et jette son dévolu sur les étrangères, mais j’ai décidé cette année de faire l’impasse sur la télé ne serait-ce que pour ne pas avoir à en parler.

Mais, comme il m’arrive d’inviter des proches pour le ftour ou d’être invité par eux, je suis obligé de suivre comme tout le monde. Et, franchement, je plains ce tout le monde pour tout le délire de faux-rire qui est débité toutes vannes ouvertes chaque soir, et surtout pour ces tonnes de pub qui sont déversées sur les pauvres téléspectateurs et téléspectatrices qui n’en demandent pas autant.

Le pire c’est que la plupart des spots les assomment à coups de chansons reprises pour n’importe quoi.

Je sais que nos télés ont besoin de blé, mais l’ex-fils de pub que j’étais est obligé de dire à leurs responsables que si trop de pub tue la pub, ça risque de tuer même la télé.
 

A demain

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