Culture

Artistes

Angélique Kidjo
Superbe artiste originaire du Bénin, a su marier les rythmes    d’Afrique à ceux des Caraïbes et d’Europe. Très sollicitée, elle a été associée à des concerts par des artistes comme Carlos Santana, Quincy Jones, Peter Gabriel et Gilberto Gil. Trois fois sélectionnée pour les “Grammy Awards“, elle vient de publier son dernier album dont le titre reflète le mieux son approche de la musique : « Oyaya », qui veut dire « Joie » dans sa langue maternelle, le Yoruba. C’est ce que Angélique Kidjo se propose de nous apporter dans le choix des compositions et des croisements musicaux de son répertoire. Elle ne manquera pas d’entraîner le public de Mawazine dans la danse et le chant avec son « Afrika », devenu un tube universel.


    
                        
Les Marionnettes Bambara du Mali

Les Marionnettes Bambara du Mali sont issues d’une grande fête célébrée, par les Bamanan, sur la place du village, à l’occasion du début de la saison des pluies. Traditionnellement agriculteurs, les Bamanan appartiennent au peuple Bambara, une des ethnies les plus importantes du pays. Danseurs masqués, ou non, se succèdent au rythme des tambours et des chants, défilant avec de grandes marionnettes à tige, les « Sogo », dont la tête représente souvent un animal mythique. Sur leur dos ou attachées à leurs cornes, plusieurs marionnettes à tige de petite taille représentent, ainsi que les masques, des esprits, des animaux de la brousse, des personnages symboliques ou des scènes de la vie quotidienne. Spectacle déambulatoire, la fête des masques et marionnettes des Bambara se prête parfaitement aux spectacles en plein air qui enchanteront les jardins de Rabat.


  Les Peuls Woodabe ou Bororo du Niger
Les Peuls Woodabe ou Bororo du Niger sont des nomades devenus légendaires par la beauté de leur maquillage et le raffinement d’une danse pratiquée à l’occasion du Worso, leur rassemblement annuel. Dès la tombée du jour, ils revêtent leurs plus belles tuniques, se teintent de poudres ocre et rouge, ceignent leurs cheveux d’une bande de coton surmontée d’élégantes plumes d’autruche et, plusieurs nuits de suite, dansent par clan, en un grand concours de chants et de figures. Les danseurs, tous de haute taille, alignés coude à coude, se déplacent lentement, se balançant avec une grâce aérienne sur un pied puis sur l’autre, claquant des mains en rythmant un chant entonné tout à tour par les solistes. Les voix se superposent, se tuilent, créant ainsi une polyphonie lente, saisissante, obsédante, ponctuée seulement par les claquements de mains. Les chants et danses des Peuls Woodabe sont un hymne à la beauté.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Ruumi & UmmaleeLele-LeleYake


Lura 

Lura tire son inspiration du Batuque capverdien. Née voilà trente ans au Portugal, elle se présente d’emblée parmi les grandes de la chanson internationale. Elle qui ne rêvait que de danses, découvre la chanson par surprise : « Petit à petit j’ai découvert cet univers et l’ai de plus en plus aimé » dit-elle. Elle l’aime tant qu’elle apprend à le maîtriser passant du Fado au Rock, puis au Zouk avant de ressentir le besoin de renouer avec la tradition et d’adopter le Batuque. Lura a également appris à maîtriser la scène qu’elle enflamme avec une rare énergie.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Track1Track2Track3


 
Oscar D’Leon
Oscar D’Leon, «El Rey de Los Soneros», est le grand maître vénézuélien de la Salsa. Né à Caracas, en 1943, il fonde, en 1973, son premier groupe et enregistre, en 1977, son premier album. Son grand succès «El mas grande» lui vaut de se produire à New York auprès de Celia Cruz et de Titos Puente. Il puise son inspiration auprès des grands maîtres de la musique cubaine, comme Eddie Palmieri, et du son latin élaboré à New York dans les années 1960. Connu dans le monde entier, couvert de disques d’or et de récompenses, auteur d’une cinquantaine d’albums, idole dans son pays, Oscar D’Léon mérite bien ses surnoms de «El Rey de los soneros» et de «El Diablo de la Salsa». Il fait partie des légendes vivantes de la musique afro antillaise.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Que Lastima Me Voy Pa’ CaliPadre E Hijo



Dona Inah

Dona Inah est la reine du Samba de Sao Paulo, au Brésil. Après quelques émissions sur des chaînes brésiliennes, elle disparaît pendant une trentaine d’années de la scène pour réapparaître en 2002, où elle est redécouverte à l’occasion d’un hommage à Clementina de Jesus (1902-1987). Les professionnels des musiques latines considèrent alors que cette « vieille dame » qui fêtera ses 70 ans en 2005, apporte un souffle complètement nouveau à la musique brésilienne. Pour ces premiers concerts, hors du Brésil Dona Inah rassemble des compositions de grands sambistes dont Nelson Cavaquinho, Ary Barroso, Noel Rosa et même des inédits de Cartola et Herminio Bello. Rendez-vous est pris pour mai 2005, à Mawazine, avec des compositions de son cru.
 

Ecoutez quelques extraits musicaux : Peregrino Qual foi o mal que eu te fiz Palhaço


Le Gwoka de Kan’nida
Le Gwoka de Kan’nida s’inspire du nom d’un tambour fabriqué en Guadeloupe. Son origine pourrait être soit le tambour « N’Goka » de Guinée ou le «Gros Quart», genre de baril dans lequel arrivaient les salaisons et qui servait à fabriquer les instruments. Le Gwoka est devenu la musique de tous en Guadeloupe. Sa particularité est d’être un jeu entre musiciens et danseurs qui mènent à tour de rôle et se disputent la maîtrise du jeu, se lancent des défis, se taquinent. Ce jeu qui exige une communion totale entre batteurs et danseurs finit par donner une impression d’envoûtement et le public reste fasciné par la dextérité des interprètes. La famille Geoffroy a constitué avec Kan’nida le meilleur groupe de Gwoka des Caraïbes. Le rythme endiablé de leurs tambours accompagne des chants improvisés et des danses comme celle des Mayoleurs ou danse des bâtons.

Ecoutez quelques extraits musicaux : KreyolKan’nida Ora


    
Danses du Palais de Mangkunagaran

Les danses indonésiennes de Mangkunagaran ont eu pour cadre les palais de Mataram. Tous les membres de la famille royale du Palais de Mangkunagaran prennent part à la vie du ballet comme librettistes, chorégraphes, danseurs et musiciens. Restées inaltérées depuis quatre siècles, elles associent la rigueur de gestes très codifiés à la grâce et à la poésie d’une expression saisissante, qui ne sont pas sans rappeler, dans leur principe, l’art des Mudra de la danse indienne. Ainsi, c’est le cou qui bouge et non la tête, les yeux voient mais ne regardent pas. Les vêtements de brocard, très ajustés, sont couverts d’éléments souples, rubans, ceintures qui accentuent le graphisme des mouvements et soulignent leur rapidité ou leur lenteur. Les danses de cour de Solo sont parmi les hiératiques et les plus belles du monde.


 
Thayambaka & Panchavadyam
Le Thayambaka et le Panchavadyam du Sud de l’Inde sont, au Kerala, les percussions les plus renommées. Ils accompagnent les cérémonies qui ont lieu tout au long de l’année devant les innombrables temples du Kerala. Ponctuant les différentes phases de préparation, ils se fondent principalement sur le jeu des percussions : grands tambours chenda dans le Thayambaka ; tambours de tailles diverses, cymbales, trompes et conques dans le Panchavadyam. Extrêmement spectaculaires, ces formes révèlent à la fois la puissance et la subtilité de la rythmique indienne, s’organisant en véritables conversations et en joutes pleines d’humour, dans lesquelles les cycles de 8 à 64 temps se superposent en de complexes polyrythmies.   
 


  
Marionnettes à fils de Mandala

Les Marionnettes à Fils de Mandalay nous viennent de Birmanie, pour faire admirer leur art qui remonte au XVe siècle. La troupe est composée de marionnettistes et de chanteurs, et est accompagnée d’un orchestre classique birman, constitué de grands et petits tambours, gongs, cymbales et hautbois. C’est donc autant un concert de chant et de musique birmane, qu’elle nous présente, qu’un spectacle de ces fabuleuses marionnettes de bois, hautes de 45 à 70 cm, qui sont animées par un minimum de onze fils, et exigent une grande dextérité. Truffées de saynètes comiques, les histoires présentées sont toujours édifiantes. Le spectacle de ces marionnettes a le don de plaire à tous les publics.


     
  Altaï- Khanghaï
Le groupe mongol, Altaï- Khanghaï, pratique la diphonie, une technique vocale qui consiste à émettre un son fondamental en bourdon et à faire ressortir certaines harmonies de ce son de manière à produire une mélodie sifflée. Il est constitué de deux grands maîtres : Ganbold, qui joue d’une vièle à tête de cheval, le Morhin Khuu instrument traditionnel par excellence et emblématique de la musique mongole, et Ganzorig imposant chanteur au timbre de voix puissant et d’une grande profondeur harmonique. Une plongée dans un monde de sonorités rares et captivantes.
 


 
 
La Tradition des Géants Portés

La tradition des Géants Portés est originaire de Belgique. Une Maison des Géants a été créée à Ath pour rassembler toute une documentation sur ces spectacles déambulatoires, qui sont proposés, cette année, pour être inscrits par l’UNESCO au Patrimoine oral et immatériel de l’humanité. Mawazine aura la primeur d’une première visite de Géants en terre d’Afrique. Précédés d’une fanfare, ces énormes personnages de six à huit mètres de haut, fabriqués d’une carcasse d’osier, vêtus de costumes médiévaux, et soutenus par trois à quatre porteurs, dissimulés à l’intérieur, défileront dans les rues de Rabat comme ils le font une fois par an dans leur ville d’origine pour la plus grande joie des spectateurs.


Jean Baron et Christian Anneix
Les Sonneurs de Bretagne, Jean Baron et Christian Anneix, ont participé, depuis leur rencontre, en 1973, au renouveau des Fest-noz et bals bretons. Ils ont été plusieurs fois « Champions de Bretagne » des Sonneurs par couple et lauréats de nombreux concours musicaux dont le prestigieux prix «Matilin An Dall», au Festival Inter-Celtique de Lorient, en 2001. Figures incontournables de la musique bretonne, ils ont fait le tour du monde avec leurs bombardes et biniou-koz, instruments traditionnels par excellence de la Bretagne. Baron et Anneix savent mieux que personne convaincre de la beauté de l’art des Sonneurs en couple.
 


   
Bando

Bando est un groupe de jeunes allemands issus de la banlieue berlinoise, qui nous livre son étrange recette : on prend un gros baril de fuel et on tape dessus avec un bâton. Mais il n’est pas sûr que vous obtiendrez ce que ces vingt percussionnistes vont nous faire entendre : un véritable concert aux rythmes à la fois savants et irrésistibles. Bando n’existe que depuis peu et s’est rendu célèbre en animant toutes sortes de fêtes, parades, carnavals, transformant ces objets de métal en véritables instruments rythmiques. Il leur suffit de quelques minutes pour communiquer au public, joie, entrain et plaisir. Et puis quelle belle démonstration dans l’esprit de ce que Mawazine propose à chacune de ses éditions ! Faire de l’art avec rien d’autre que le talent, l’obstination et l’imagination.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Track1 Track2 Track3


  
Rafael Jimenez
Rafael Jimenez est l’un des personnage phare du « cante flamenco » de la nouvelle scène espagnole. Ayant collaboré avec Mario Maya, Andrian Galli, Enrique Morente, il forme sa première formation musicale, en 1996. La personnalité, la prestance et la force des interprétations de «El Falo » viennent à exprimer un flamenco nouveau, dont la qualité indiscutable vaut, à ce chanteur gitan, les faveurs du public et de la presse : sa voix se révèle riche d’une grande variété de couleurs, de sensibilité. Accompagnant Rafael, la guitare de Arcadio Marin et la contrebasse de Luis Escribano complètent un trio imaginatif et original, pouvant ?uvrer dans des improvisations qui transportent le spectateur en d’autres contrées. 




Radio Tarifa
 
Radio Tarifa, dont le nom s’inspire du Cap Tarifa,
passerelle qui relie l’Espagne au Maroc, prend ses marques, dès 1990, en formant un trio exaltant et authentique. Savant mélange entre oud, bouzouki, accordéon, saxo, guitares et luth, leur instrumentation, essentiellement traditionnelle, propose la spontanéité enflammée du flamenco, les mélopées délicates arabes et le caractère insolite des mélodies médiévales. Ni traditionnelle, ni moderne, mais bercée simplement par diverses cultures, cette formation aime l’ éclectisme et ose franchir les mers pour convier d’autres camarades musiciens à leur fabuleuse aventure musicale: algériens, marocains, castillans, ou encore andalous. Le spectateur est ainsi soumis à un dépaysement authentique et festif, bercé par un souffle riche et coloré.

Ecoutez quelques extraits musicaux :  Track1 Track2 Track3


 

Nassim Maalouf 
Nassim Maalouf est né au Liban, au c?ur de la montagne, où son oreille musicale a été formée par la pratique des chants liturgiques byzantino-arabes et par la musique classique orientale. C’est au Conservatoire de Musique de Beyrouth qu’il décide de se consacrer à la trompette. Il se rend, par la suite, à Paris, où il devient le « seul élève venu des pays arabes » de Maurice André. A l’origine d’un nouveau concept instrumental, le jeune soliste crée une trompette produisant des 1?4 et des 3?4 de tons, réalisée en liaison avec la maison Selmer et le grand maître André. Cet instrument, en plus des rôles qu’il peut jouer dans les pays arabes, peut également rendre de grands services à la musique d’avant-garde. Nassim Maalouf étonnera et enchantera le public de mélomanes de Mawazine avec ses improvisations orientales sur les modes de la musique arabe !


 
Dorsaf Hamdani et Khaled Ben Yahia
 
Originaire de Tunisie, le duo, Dorsaf Hamdani et Khaled Ben Yahia, nous présente sa création musicale, «Tesmine», qui signifie en arabe littéraire «Le Parfum de la Fleur». Une ?uvre qui suggère toute la sensibilité et la poésie des improvisations orientales, de même qu’elle révèle tous les éléments incontournables de la musique arabe, tels que le Taqsim, le Mawals, ou encore le Oud. L’agilité délicate du luthiste Khaled Ben Yahia, alliée à l’éclat raffiné de la voix de Dorsaf Hamdani, ouvre les portes de l’improvisation extatique, de la liberté mélodique et de l’évasion créative. De variations démesurées en ornementations illuminées, tous deux naviguent hardiment autour des modes de la musique classique orientale et plongent dans les inflexions profondes de l’âme pour livrer leurs émotions les plus secrètes, leurs intuitions les plus troublantes.


José Fernandez
José Fernandez, d’origine andalouse, a très vite été considéré comme un prodige du flamenco. Son environnement familial, fortement imprégné par les musiques gitanes, le prédestinait déjà à une carrière d’artiste. Inspiré par d’autres cultures que la sienne, il s’engage sur les sentiers de la découverte, notamment au Liban, à la rencontre de nouveaux courants musicaux. Ses attentes se concrétisent alors, lui permettant d’interpréter les classiques de la chanson arabe (Oum Kalsoum, Farid El Atrach, Wadi’ As Safi) sur un mode flamenco, avec un lyrisme vocal particulier, accompagné de musiciens orientaux et de batteurs cubains.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Track1 Track2


Kilandukilu

Kilandukilu, dans la langue Kimbudu majoritairement parlé en Angola, signifie « Divertissement ». Ce groupe a été créé, en 1984, par un ensemble de jeunes musiciens, tambourinaires et danseurs, qui ont voulu faire partager leur amour des traditions musicales de leur pays. C’est avec un enthousiasme et un dynamisme particuliers qu’ils interprètent les chants et danses du patrimoine de leur pays. Un enthousiasme qu’ils communiqueront sans aucun doute au public de Mawazine.    


 
Salah Cherki 
Virtuose marocain du Kanoun, Salah Cherki a su conquérir le c?ur des mélomanes avec son talent sophistiqué, son goût et son expérience riche en matière d’instruments à cordes.Depuis toujours sa réputation jouit d’une reconnaissance qui a allègrement dépassé les horizons de son pays, se distinguant de ses semblables en travaillant avec les plus grands (le célèbre instrumentaliste Mohamed Zniber, le professeur Jacques Bugard, la diva arabe Oumkaltoum). Le compositeur- musicien, accompagné par son fidèle acolyte, le Kanoun, aux caractéristiques et particularités musicales insolites, comble, avec raffinement, la curiosité avide des amateurs de mélodies marocaines.


 
Maître Bayati

Certains créateurs sont destinés à devenir des légendes émouvantes. C’est le cas du Maître Bayati, d’origine marocaine. Bénéficiant de l’estime et de la reconnaissance de tous les mélomanes avertis, Abdelatif Bayati a réussi l’exploit de réaliser une heureuse fusion entre la musique, la poésie, le rêve et la finesse de l’esprit. Le droit à la création, la soif d’expression, la passion mélodienne de Laoud lui ont permis d’ignorer sa cécité et de maîtriser majestueusement les beautés de son entourage et les secrets des arts. Un créateur confirmé qui a gagné le respect d’un public multinational, par la force et la qualité de ses performances.

Ecoutez quelques extraits musicaux : Track1 Track2 Track3


 

Ihsan R’Miki
Ihsan R’Miki est née à El Kasr El Kebir, dans une famille d’artistes. Après avoir reçu une formation de base sous la conduite des professeurs Sbitri et Mahacine, la jeune artiste a poursuivi des études à Madrid. Trois ans après, de retour à Marrakech, elle retrouvera ses professeurs Mahosine et Aït El Kadi. C’est à cette époque qu’elle a réussi à vaincre définitivement ce qu’on appelle la pudeur vocale, grâce à un travail méthodique. C’est sur l’échelle des harmoniques que Ishan R’Miki découvrira les secrets de la réussite dans les Mouachachat orientales et andalouses, et accéder, avec tout le succès que l’on sait, aux merveilles du chant Soufi. Ihsan R’Miki est devenue ainsi la vedette de bien des festivals.


La troupe de Chefchaouen

La troupe de Chefchaouen, que dirige Madame Arhoum Al Bakkali, est un orchestre héritier d’une très longue tradition musicale et demeure exclusivement composé de femmes.
Les mélodies et les rythmes de l’Andalousie arabe trouvent dans les c?urs féminins une résonance particulière qui ajoute aux mystères des demeures de l’antiques Chefchaouen
 


Abdelwahab Dukkali
Natif de Fès, Abdelwahab Dukkali est initié très jeune à la musique, puisque son premier passage à la radio date de 1957, à l’âge de 16 ans. Il n’a pas 18 ans quand deux enregistrements lui valent plus d’un million de 45 Tours vendus. Après un séjour de quatre ans, en Egypte, où son talent reçoit l’accréditation d’un public exigent, Dukkali entame au Maroc un carrière illuminée par l’inoubliable chanson « Mana Illa Bachan ». Artiste aux expressions multiples, Abdelwahab Dukkali a déployé son immense talent dans le théâtre, le cinéma, la musique classique, avec dans chaque genre, des partenaires parmi les plus grands. C’est donc un prince de la chanson que Mawazine accueille parmi les siens.

Related Articles

ActualitéCultureUne

Artisanat : publication de dix enregistrements de marques déposées auprès de l’OMPIC

Dix enregistrements de marques déposées par le Secrétariat d’Etat chargé de l’Artisanat...

Culture

Joy’s Hypnose: L’adresse incontournable pour l’hypnothérapie à Casablanca

Joy’s Hypnose, fondé par Kenza, maître praticienne en hypnose transformative, se positionne...

Culture

Une véritable célébration de la richesse culturelle nationale: Marrakech à l’heure du 2ème Festival Les Nuits de Chaabana

Sous l’égide de l’Association Le Grand Atlas de Marrakech (AGA) présidée par...

Culture

L’ouvrage «Les amoureux de Moulay Idriss Zerhoun» présenté à Paris

L’ouvrage collectif «Les amoureux de Moulay Idriss Zerhoun» a été présenté, mardi...