La 17ème édition du Festival international du film de femmes de Salé se déroule du 23 au 28 septembre. Cette édition sera marquée par des hommages, compétitions officielles, tables rondes et autres activités en parallèle.
L’une des manifestations cinématographiques les plus attendues, le Festival international du film de femmes de Salé, revient cette année pour sa 17ème édition du 23 au 28 septembre. Portée par l’Association Bouregreg, cette édition promet de grands temps forts. Elle sera marquée, selon les organisateurs, par une programmation plus intense. Dans les détails, le festival met à l’honneur la cinématographie hongroise et rend hommage à l’actrice égyptienne Dalia El Beheri pour son parcours remarquable dans le cinéma et la télévision, ainsi qu’à l’actrice marocaine Saâdia Ladib pour son parcours cinématographique marquant.
10 longs métrages en lice pour le grand prix
Outre les hommages, le festival comprend trois compétitions officielles : longs métrages, documentaires et jeune public. La première compétition connaîtra la projection de 10 longs métrages issus de 19 pays dont le Maroc. Ainsi, la sélection donne à voir «Triple A» de Jihane El Bahar, «Langue étrangère» de Claire Burger, «Mi Bestia» de Camila Beltrán, «l’Image permanent» de Laura Ferrés, «Tiger Stripes» de Amanda Nell Eu et autres. Ces œuvres seront évaluées par un jury composé de femmes issues de la scène cinématographiques connues et reconnues. D’ailleurs, il est présidé par la réalisatrice Meryem Touzani.
Celle-ci sera accompagnée par la réalisatrice française Fleur Albert, l’actrice et directrice du festival Burkina Faso Odile Sankara, l’actrice égyptienne Hana Chiha, la réalisatrice et productrice hongroise Agnes Kocsis. Par ailleurs, la 2ème compétition présente cinq films documentaires. Il y a lieu à citer: «l’Homme vertige» de Malaury Eloi Paisley, «Le tombeau vide» de Agnes Lisa Wegner et Cece Mlay, «Lébou» de Ndèye Soukeynatou Diop, «Rien Sur Ma mère» de Latifa Doghri et «Pirinha» de Natasha Craveiro. S’agissant de la catégorie jeune public, elle comprend : «Lune» de Zineb Wakrim, «Pour Moi» de Intissar Azhari, «Reines» de Yasmine Benkirane, «Sound of Berberia» de Tarik Idrissi, «Nayda» de Said Naciri, «Ana Machi Ana» de Hicham El Jebbari et autres.