Culture

Indiscrétions : Fatéma, en attendant Godot

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Fatéma, en attendant Godot
Fatéma Nouali Azar attend toujours d’avoir sa télévision à elle. Une télévision qui répond à ses propres critères et attentes. Puisque l’offre du paysage audiovisuel marocain est à mille lieues de ses ambitions personnelles et professionnelles, Fatéma est maintenant dans une phase d’« observation ». Dans une interview accordée récemment à une revue féminine marocaine, elle avoue que « le champ audiovisuel marocain a du chemin à faire » et qu’elle s’attend à un vrai chamboulement avec l’arrivée de la quatrième chaîne de télévision marocaine, l’Educative.
Pour le moment, Fatéma préfère rester chez-elle parce que « notre télévision n’est pas encore arrivée au niveau professionnel des autres chaînes dans le monde ».
En attendant des jours cathodiques plus cléments, elle pourrait prospecter de nouveau vers cette chaîne arabe qui l’avait propulsée et qu’en a fait la star qu’elle pense être.
À propos justement, Fatéma ne nous a jamais dit pourquoi elle s’était faite zapper d’Abou Dhabi ?

La métamorphose de Najwa Karam
Najwa Karam vient de changer de peau, au propre comme au figuré. Du bloc opératoire de l’un des grands et talentueux chirurgiens libanais, elle est sortie plus jeune, plus radieuse mais méconnaissable.
Faisant la couverture de l’un des plus lus des magazines arabes, elle y apparaît avec un look d’adolescente fashion-victim. La star des chansons libanaises de terroir est fière d’avoir un nouveau visage, sans rides ni autres dégâts causés par l’affreuse et fatidique vieillesse. Najwa Karam est arrivée ainsi à attirer sur elle l’attention de tous les fans et les observateurs du monde du show-biz arabe. Reste à savoir si cette attention résulte d’une admiration qu’ils éprouvent envers la chanteuse, ou d’une compassion envers une dame qui refuse de quitter cette phase transitoire entre l’enfance et la vieillesse, la jeunesse. Lamentable.

Roubi persiste et signe
Roubi est quelqu’un de timide et de pudique. C’est du moins ce qu’elle vient de déclarer dans une interview accordée à une revue arabe, jurant, au passage, ses grands dieux qu’elle n’avait nullement l’attention de susciter le tollé qui a suivi la diffusion de ses vidéo-clips. Dans ces derniers, Roubi avait usé et abusé, lascivement, de son pouvoir charmeur et ensorceleur. Elle est également arrivée au summum du hit-parade arabe, quelques semaines après le lancement de son premier album, « Inta Aref Lih ».
Concernant son premier film « 7 cartes de jeu », qui s’est avéré comme un simple navet de la production cinématographique égyptienne, elle affirme que les scènes dites osées sont des maillons solides dans le film, et qu’elle les a jouées parce que le réalisateur a estimé qu’elles ont un rôle primordial et essentiel dans l’histoire que relate « 7 cartes de jeu ».
Dans cette interview, elle a reparlé pour la énième fois de sa petite soeur, Kouki, qui veut emprunter le même chemin qu’elle, mais qu’elle n’a pas « de talent et de passion ». Faut-il aussi croire que ce sont ces deux éléments-là qui ont fait le succès de Roubi !

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