Culture

«Korbag», le nouveau single de Samira Saïd en style hard rock

© D.R

Un nouveau single pour Samira Said. La diva vient de lancer son titre inédit «Korbag» (Fouet) qui allie, tel qu’elle le révèle, «hard rock et rythmique». «C’est un single de rhapsodie dans un nouveau style», détaille l’artiste qui tente d’innover à chaque lancement.
Pour concevoir ce morceau, elle collabore avec le compositeur Aziz El Shafîi, également concepteur des paroles de cette œuvre. «Je suis très contente de traiter avec lui», s’exprime la star en rappelant une collaboration depuis une vingtaine d’années. Le tout en caressant l’espoir que ce tube sera apprécié par le public.
Outre «Korbag», cette vedette, qui n’est pas à présenter, a tout récemment lancé «Yallah Rouh» (Va-t’en). La particularité en étant son interprétation, tel qu’elle le précise sur son compte officiel Instagram, «en dialecte marocain».

Quant aux paroles de ce tube, elles sont conçues par Mohamed El Merdi et Hakim Bouamer qui en a également fait la composition avec Mehdi Bouamer (Kami) et Adil Khayat.
Dans le clip, c’est une Samira Saïd en look africain, notamment une coiffure «rasta», que les mélomanes découvrent.
Avant de lancer ce morceau, Samira s’était rendue au Maroc en mars dernier. Sur le même réseau social, elle s’affiche en photo avec un perroquet dans la ville de Chefchaouen. «Après deux ans d’absence, je suis de retour à mon cher pays. Je fais une tournée dans ses recoins comme si je le découvrais une autre fois. Je le ressens différemment. Je contemple chaque contrée avec amour et passion», s’exprime-t-elle à propos de sa nostalgie pour le pays. Un sentiment qu’elle doit éprouver de par les effets de la pandémie de Covid.
Entre-temps, elle a eu l’occasion d’animer des concerts comme celui qu’elle a donné en Egypte en novembre dernier.

En plus de «Yallah Rouh», elle a lancé «Masterayahetsh» (Je ne me suis pas reposée). «C’est le sixième titre de l’album «Insan Ali» (Robot)», indique-t-elle à propos de cet opus qui compile également les tubes «El Waet El Helo» (Les bons moments), «Mon chéri», «El Saâa Etneen Belleil» (Il est deux heures du matin) et «Mataha» (Labyrinthe). A propos de ce single par lequel elle renoue avec le «drama», elle indique qu’il «révèle la crise de changement qui marque les rapports conjugaux après un beau début de la relation qui change avec le temps». Le premier tube du même album étant «Baheb Maak» (J’aime avec toi).

En tout il est prévu que l’opus compile une dizaine de titres qui s’ajouteront à ceux à succès dans sa carrière pleine de créativité et de primeurs. Elle a, pour rappel, été la première Marocaine à se produire, en 2017, au festival international de Baalebak au Liban. Elle s’est également produite dans la même année, pour la première fois sur les planches de la maison d’opéra du Koweït. Un pays auquel elle est revenue après y avoir fait un show 17 ans auparavant. Quant au Maroc, elle y était en première tournée en 2019 depuis une quarantaine d’années. Une carrière artistique grandiose.

Articles similaires

Culture

Dans le cadre de la Journée Internationale du livre : L’IC organise la Semana Cervantina 2024

L’Institut Cervantès de Casablanca célèbre la Semana Cervantina 2024 avec différentes activités...

Culture

Ouverte au public du 18 avril au 6 mai 2024: La Fondation BMCI et la galerie 38 lancent «Vogue»

La BMCI, à travers sa Fondation et en partenariat avec la Galerie...

Culture

«Moroccan badass girl» de Hicham Lasri à l’assaut des salles nationales

Il évoque la pauvreté, le chômage et le désespoir de la jeunesse

Culture

«Disciples Escoffier Maroc» : Un rendez-vous gastronomique à Rabat

Organisé autour de la transmission à travers les femmes

EDITO

Couverture

Nos supplément spéciaux