![]() | «Mauvaise vie» de Helen Walsh Millie O’Reilly a 19 ans. Envoûtant les hommes par sa beauté et son intelligence, cette étudiante à la dérive, abandonnée par sa mère, navigue entre sexe et drogue dans l’univers noctambule de Liverpool. C’est un premier roman qui touche par sa justesse, sa force et sa simplicité. Helen Walsh réussit un tour de force en racontant une histoire dure sur la dérive d’une jeune fille, sans pathos ni petiote morale, mais juste ce qu’il faut pour livrer un roman solide et sans concessions. Editions Flammarion. 180 DH
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| «80 jours autour du monde» de Matthew Goodman New York, automne 1889, Joseph Pulitzer, magnat de la presse américaine, choisit la jeune Nellie Bly, journaliste du World, pour relever un incroyable défi: boucler un tour du monde en moins de quatre-vingts jours et battre le record de Phileas Fogg, le héros de Jules Verne. Concurrent acharné de Pulitzer, John Brisben Walker, le directeur du Cosmopolitan, envoie lui aussi une jeune reporter, Elisabeth Bisland, accomplir ce tour du monde dans le sens contraire à celui de sa concurrente. Une course contre la montre s’engage par journaux interposés. L’Amérique entière dévore les chroniques des deux globe-trotteuses, et parie de grosses sommes d’argent sur la durée exacte de leur voyage. Les deux jeunes aventurières sont rapidement élevées au rand d’héroïnes nationales. Editions Flammarion. 220 DH
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![]() | «Bonheurs d’errances» de Farida Bouachraoui Paru récemment, ce carnet de voyages raconte la quête d’un bonheur émotionnel qui est une voie parallèle au travail photographique de l’auteur. Dans cet ouvrage, Farida Bouachraoui livre les émotions ressenties lors de ses prises de photos. Elle nous fait partager son besoin de solitude et d’errance pour trouver ses sujets photographiques, ainsi que sa relation avec le monde des mots. Le lecteur saisit ici le lien étroit entre l’écrit et le visuel, les descriptions de l’auteur faisant ressurgir l’âme des images. Editions Persée. 80 DH |