Dans un communiqué publié lundi, l’UJA exprime sa solidarité avec le syndicat des journalistes égyptiens, considérant que "les actes de harcèlement, d’humiliation et d’arrestation de journalistes égyptiens et arabes, survenus dernièrement, nuisent énormément à l’image de l’Egypte et porte atteinte à la liberté de la presse, ainsi qu’à la liberté des journalistes lors de l’exercice de leurs fonctions".
Des heurts avaient éclaté, jeudi dernier, à l’occasion de l’audition de deux magistrats pour diffamation de certains de leurs collègues, qu’ils accusent de fraude électorale lors des législatives de novembre-décembre 2005.